vendredi 17 avril 2009

synthèse écrite

Introduction
En tant que future enseignante, je considère que la maîtrise de l’écriture constitue un élément important de ma formation. J’aurai l’occasion, à maintes reprises, d’écrire au tableau, d’écrire des lettres aux parents, d’expliquer des notions grammaticales…Bref, de communiquer dans une langue écrite adéquate. Bien que je n’aie l’impression de n’avoir vu l’expression écrite que de façon très brève au cours de ce trimestre, j’ai quand même pu me rafraîchir la mémoire sur certains aspects de la grammaire. J’ai aussi pu exercer mon esprit critique lorsque j’avais à faire des exercices de correction, surtout lorsque je ne savais pas quelle était l’erreur.
Synthèse
Au plan de l’orthographe, je ne crois pas avoir grandement évolué. Les seules difficultés que j’éprouve dans ce domaine, ce sont lorsqu’il y a la possibilité, dans un mot, qu’il y ait une consonne double. Lorsque je doute, j’utilise mes outils, tels que les logiciels de correction informatiques ou les dictionnaires. Je n’ai pas non-plus de difficulté à accorder mes groupes syntaxiques. Bien sûr, je doute parfois lorsque je compose des phrases complexes. Lorsque cela arrive, je décompose ma phrase pour vérifier si tous mes groupes sont bien accordés.
Pour ce qui est de la ponctuation, je me suis surtout servi des connaissances que j’ai acquises comme tutrice au centre d’aide en français écrit du CÉGEP. Je n’ai pas l’impression d’avoir acquis de nouvelles connaissances à ce sujet dans ce cours, et si c’est le cas, je l’ai fait bien inconsciemment puisque je ne me rappelle pas l’avoir vu en cours.
Je crois que c’est en syntaxe que j’ai le plus appris. J’ai appris à poser un œil critique sur les phrases lorsqu’elles n’ont pas de sens. Parfois, ce n’est qu’un mot qui est mal placé dans la phrase. Je dois me poser des questions sur la véritable signification de ma phrase. Ainsi, je pourrais m’assurer de bien la construire pour ne pas causer d’erreurs d’interprétations au cours de sa lecture par une autre personne. Cela me permettrait aussi de bien cibler les erreurs syntaxiques qui pourraient s’être glissées. D’ailleurs, afin de mieux pouvoir m’auto corriger, lorsque c’est possible, je laisse un intervalle de temps entre l’écriture de mon texte et sa correction. Ainsi, je peux mieux voir si je comprends ce que j’ai voulu dire en rédigeant mon texte.
Finalement, en ce qui a trait au lexique, je fais attention à utiliser un vocabulaire précis, pour que ce que j’exprime soit clairement compris. Bien sûr, je peux donner un exemple général pour illustrer certaines idées, qui ne nécessitent pas d’exemple en particulier. Je dois porter attention à ne pas utiliser des termes flous tels que ‘’chose’’ ou ‘’affaire’’ lorsque je fais allusion à une idée précise si je veux être bien comprise. Cependant, je ne fais pas souvent cette erreur à l’écrit lorsque mes idées sont clairement construites dans ma tête.

Conclusion
En bref, je n’estime pas avoir évolué de façon significative en expression écrite grâce à ce cours. Je me base principalement sur mes connaissances antérieures pour effectuer la tâche demandée, surtout à celles reliées à mon expérience comme tutrice au centre d’aide en français écrit au CÉGEP. Malheureusement, les autres étudiants n’ont pas tous eu cette expérience et n’ont jamais été habitués à la correction de textes d’étudiants. Cependant, j’ai pu utiliser mon jugement critique au cours des activités reliées à l’écrit, principalement lorsque je devais faire de la correction. Je devais réfléchir à la structure des phrases, à leurs syntaxes, afin de trouver les véritables erreurs.

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